
Marc-Antoine Mathieu : « Ce qui est intéressant dans le livre de Raphaël Meyssan, c’est l’absence de personnage central. Il n’y a pas un héros qui nous guide, comme dans les récits classiques qui ont, d’une certaines manière, un peu vécu. Dans son livre, tout parle : les baïonnettes, les grands boulevards, les chantiers... Toutes ces illustrations d’époque étaient autant une manière de dresser un décor que de mettre des personnages. »