« Son projet est fou : raconter la Commune de Paris uniquement avec des gravures de cette époque »

Didier Morel : « Son projet est fou : raconter la Commune de Paris uniquement avec des gravures de cette époque. Son projet s’entremêle à son histoire personnelle, celle d’un sirop des rues, un gamin de Paris en quête de ses origines. Raphaël Meyssan a construit sa vie ici, à Belleville, et c’est par hasard qu’il croise celle d’un voisin communard. »
« Commence alors un travail de titan. Il numérise quinze mille documents issus de divers journaux d’époque. Cela lui a pris six ans pour réaliser sa première BD, son rêve. »
« Trait ciselé des gravures et précision des archives, le Paris de 1870 revit à la manière dont l’époque se voyait elle-même. Raphaël Meyssan sait manifestement raconter une histoire. »
« La faim, le froid, le lait coupé avec du plâtre... Témoignage exceptionnel : l’histoire avec un grand H est ici totalement respectée. La suite de ce premier roman graphique unique en son genre est déjà en préparation. Nous l’attendons. »
« Témoignage exceptionnel : l’histoire avec un grand H est ici totalement respectée »

